Transmedia, Transmedialité

La transmédialité est une façon de promouvoir, diffuser et de faire évoluer toutes formes de productions artistiques ou savantes à travers les différents médias qui composent le paysage actuel de la modernité. Il est clair que de nos jours, les technologies de l’information par leur pluralité d’applications ont pénétré en profondeur notre quotidienneté. Ce faisant, elles s’articulent comme différentes rivières faisant circuler l’information selon leur « caractère » propre. Ainsi, aujourd’hui, il est devient nécessaire d’intégrer la force et les spécificités de ces nouveaux médias à la structure traditionnelle de diffusion des savoirs dans le contexte universitaire qui s’impose principalement par les colloques et les publications savantes associées à l’établissement d’enseignement qui les promeut.

L’aspect  « trans-média », tout simplement la transmédialité présente au sein de la Chaire d’Antiquité Critique et de Modernité Émergente (ACME), a pour objectif concret d’assurer la coordination et la production de contenus éducatifs et savants sur les diverses plates-formes médiatiques allant de la publication d’ouvrages papiers à la création Web et en passant par l’élaboration de contenus sur YouTube. De plus, un autre plan important de la transmédialité au sein de la Chaire est d’assurer que les diverses productions ne se chevauchent pas et conservent un aspect complémentaire leur garantissant une interdépendance dans la communication des travaux de la Chaire d’Antiquité Critique et de Modernité Émergente. Ainsi, les conférences et recherches de la Chaire selon les différents thèmes qu’elle aborde seront adaptées sur les nouveaux médias (internet, YouTube, Facebook) de l’information afin de consolider leur présence et leur caractère sur les médias traditionnels (communications et publications).

Ce faisant, la Chaire de recherche du Canada : Antiquité Critique et de Modernité Émergente  innove en étant une des premières à l’Université Laval et au Canada à s’équiper d’une coordination trans-média et à directement encadrer la production de contenus en ligne afin de favoriser la diffusion et la vulgarisation de ses recherches à travers l’immense potentiel bassin d’auditeurs que compose toute la francophonie au niveau mondial.  »

 Jean Samuel Angers, étudiant à la faculté de philosophie de l’université Laval, premier cycle